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19 octobre 2010 2 19 /10 /octobre /2010 10:23

Vous les avez vus à la distribution des paniers, ce sont les wwoofers de Jean-Luc. 

 

Cette expression vient de : "wwoofer" : Willing Worker on Organic Farms, travailleur bénévole sur des fermes biologiques. Voici le site :  http://www.wwoof.fr/wwoofing.htm

  

Depuis 2007, des jeunes et moins jeunes, wwoofers de tous horizons sont venus aider à la ferme de la Rivière  contre hébergement. Ils ont consigné leurs souvenirs,  parfois des leçons de vie et même un poéme dans le cahier de la ferme 

Voici quelques extraits....

 

Suzelle, l'étudiante parisienne en IUT agriculture; Laure la lotoise, prof d'arts plastiques  remercie JL et Cathy de leur patience car art et agriculture ça a pas toujours été facile ! Hélène et Jorda le tchèque ont construit un four à pain en terre.

 

Myriam, lotoise d'adoption s'est depuis installée comme maraichère bio et a laissé cette maxime : "Le but ce n'est pas de faire plus mais de faire mieux !"

 

Sabine et Sébastien, une prof et un entrepreneur en techniques d' assainissement naturelles, Marcail la californienne, Kristen la new-yorkaise qui avait appris le français en 3 mois,

Sophie, la savoyarde,  l'hyper bosseuse , qui travaillait dans une fromagerie paysanne.  

Laetitia, la porto-ricaine et Chris, deux profs qui vivent aux USA, Myriam et Rozenn les 2 bretonnes qui regrettent le manque de beurre salé et de crème fraîche, et qui révisent leurs tables de multiplications pour préparer les paniers de l'Amap, tous n'ont qu'un mot à la bouche " Merci Jl et Cathy". 

 

Nathalie et Véro, les navigatrices, rentrées d'un tour du monde de 6 ans, courbaturées mais épatées par leur retour à la terre, par l'engagement de J-L et la cuisine de Cathy.

 

Nico, le clermontois ravi des légumes, des bestiaux, de l'osier et des chics personnes !

 

Galaad, lotoise, enrichie dans ses réflexions grâce au labeur éprouvant, à la nature apaisante, et aux discussions avec ses hôtes, Jl et Cathy, la super intendante !

 

Thierry de Châteauroux, chômeur ex-informaticien, paysan béotien, a découvert les joies réelles de la paysannerie, sa dureté physique ( le dos! ), et aussi le plaisir simple d'être reconnu par les poulets. (au moment de la bouffe !)

 

Kim, la pêcheuse américaine qui vit sur une petite île en Alaska, rapporte les recettes de Cathy et espère transmettre ces savoirs sur son île.

 

Meg, américaine de l'Idaho, est enchantée de son séjour, de la pluie, des poules qui font la grève, des punaises qui attaquent les légumes,etc. et n'a vraiment pas envie de repartir.

 

Pauline et Clément de Bordeaux, étudiants en agri-bio, sont des wwoofers aguerris car c'est leur 10éme ferme  visitée, convaincus de l'utilité de ce système d'échanges, bon moyen de se former et  qui projettent leur installation en Agri. Bio.

 

Julia et Lilou, Strasbourgeoises : " Partager mais aussi réfléchir et avancer! "

 

Nadine et Christophe d'Orléans, attachée de mairie et inspecteur de l'éducation nationale, se souviennent de leurs belles rencontres humaines : J-L notre patron, révolté, debout, amoureux de sa terre, détenteur de valeurs, et si délicatement poète quand il parle de maïs , de fuschias, et de l'Amérique du sud, de Cathy, pinson au phrasé qui chante du matin au soir, tout ponctué qu'il est de "mon dieu", le concert des poules, la matinée "pain", les voisins, les quiches de Cathy.           "ECOLE DE VIE POUR NOTRE AVENIR"

 

Hervé le poète chômeur de Haute Loire :

 

Quel beau séjour

Quel bel échange

J'espère qu'un jour,

Le monde enfin change,

Que les citadins

Comme moi,

Viennent voir la paille

Le grain et la Rivière

D'ici ou d'ailleurs

Quand le temps coule et roule

Il est meilleur et doux

Il est sueur

Alors en nous la révolte meurt

Sur les cailloux vivants

Le temps encore lui

Ne se perd,ni ne se gagne,

Il se vit ! 

 

Lao  Tseu : " le but c'est le chemin.".

 

Annebeth, la prof de français néerlandaise, regrettant sa cabane, son réveil avec les ânes et les poules, a beaucoup appris  sur l'occitanie, l'agriculture bio, le wwoofing et les fêtes à  la ferme.

 

Julien et Marie chercheurs d'emploi du gard, ont pris conscience de la vérité sur le métier de JL, des contraintes et difficultés à être paysan aujourd'hui mais ont apprécié de partager des passions respectives sur l'occitanie, la musique"trad" et la danse traditionnelle. 

"SANS LES PAYSANS, NOUS NE  MANGEONS PAS !"

 

Ingeborg, couturière du Lichtenstein, trés contente d'avoir participé au travail de la ferme (sauf pour attraper les poulets la tête en bas, gros programme de désensibilisation pour elle !) et d'avoir appris autant de choses sur l 'agri bio, l'élevage des poulets et de Cathy, sa bonne humeur, ses "parures" et des conversations si intéressantes.

 

 

Et puis tous les autres nouveaux qui viendront et ceux qui reviendront.... 

 

 

 

 

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19 octobre 2010 2 19 /10 /octobre /2010 10:11

Le nouveau contrat entre Jean-Luc et les amapiens pour la 6éme année consécutive, vient d'être signé à la ferme de la rivière en dégustant de délicieux gateaux. On a pu admirer la récolte multicolore de courges.  

 

P1070506.JPG         

Un amapien passionné a parlé de cette fameuse courge éponge  (de son vraie nom Luffa Aegyptiaca) et de la façon de la faire sécher aprés l'avoir épluchée ! ( Ou bien attendre que le fruit soit mûr, l'écorce brunie et sèche.)Le disque rond, en bas s'ouvre pour laisser sortir les graines et la peau s'ouvre pour laisser sortir une éponge ! Une éponge végétale pour faire la vaisselle !  

P1070511P1070509

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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 12:06

Vu le désarroi d' un certain nombre d' Amapiens, par rapport à la réduction du nombre de semaines du contrat, je propose pour tous ceux qui le souhaitent du 1er Février au 1er Juin :

 

de livrer des petits paniers de légumes et d'oeufs à la carte et à votre domicile ( pour les cadurciens ) ou sur votre lieu de travail , ( ou autre possibilité à voir avec vous ).



Modalités:

  •  Les livraisons se feraient le Mardi ou le Jeudi
  •  Je vous envoie un mail chaque début de semaine pour vous indiquer le disponible
  •  Vous réservez ce que vous souhaitez et je vous confirme le disponible par retour.
  •  Tout ceci serait hors contrat et ne concernerait que des légumes d'hiver ou de printemps.
  •  Le réglement se ferait à chaque livraison en chèque ou en espèces

pour le groupe de Labastide Murat possibilité de venir chercher des légumes à la ferme le Lundi ou le vendredi soir.

 

 

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 13:28

 

18h45, 25 personnes présentes

 

Florence Parise : la présidente rappelle que l’association de l’AMAP la Rivière est un support pour le paysan  et que c’est Jean-Luc qui  prend les décisions. Cette année il y a eu des problèmes de production d’œufs et de courgettes. ( maladies, etc. )

 

Deux amapiens n’ont pas été satisfaits (une adhérente par rapport à la composition du panier et une autre par rapport au règlement intérieur)  et ont communiqué leur mécontentement   par e-mail, à Florence.. Pour mieux comprendre le fonctionnement d’une AMAP, il faudrait peut-être mieux venir à la ferme ou  dialoguer directement avec le paysan plutôt que par courriel. Claudine fait remarquer que le nombre de mécontents est très faible, par rapport au nombre de contrats ( 2 sur 46  )

 

Faut-il faire des réunions ponctuelles pour résoudre les problèmes ? La question reste en suspens .

 

Comptes :                       Solde bilan  2008-09 : 585,34€

Cotisations 2009-10 :   930 € 

Frais tenue de comptes : 8,00€

                                     Aide à l’achat d’une dérouleuse pour JL : 800 €

                                     Achat galettes janvier 2010 : 62,73 €

                                     Adhésion Eté Labastide Murat x3 : 30€

                                     Achat  boissons 22/09/10 : 11,01€

                                     Total Crédit :1545,34€

Total Débit : 870,73€

                                     Solde : 663,60€

 

Il a été décidé de diviser la cotisation par 2  et de l’établir à  10 € pour 2011.

 

Prix moyen  du panier livré en 2010 ,  moyenne annuelle = 22,50€

                                                        moyenne estivale ( mois 06-07-08 ) = 24 €

 

 Jean –Luc :  la ferme est une personne morale (entreprise) gérée par une personne physique, Jean-Luc qui  a relaté la situation suivante :

de graves problèmes de trésorerie sont apparus dés juillet pour 2 raisons conjoncturelles :

-        insuffisance du nombre de contrats d'été par rapport à ce qui était prévu

-        refus de la banque de différer de 30 jours une partie de l'échéance de prêt long terme  ( échéance de 2600 € ),

          dans l' urgence , un prêt de 5000 € sur 5 ans à été contracté.

 

Sur le plan des cultures l'année a été satisfaisante, en particulier pour les cultures optimisées comme l'aubergine et la tomate. Par contre trop de cultures en plein champ, n'ont pas donné les résultats espérés, car il y a eu des problèmes d’irrigation et de mauvaises herbes.

 

Jean-Luc nous a également fait part de sa préoccupation face à la charge écrasante de travail qui pèse sur ses épaules et auquel il a de plus en plus de mal à faire face en dépit du bénévolat toujours présent en période de production .

Pour continuer à relever le défi et tout en se ménageant, Jean-Luc doit opérer des changements pour 2011 :

 

  • Réduction des surfaces de maraîchage de 15000m² à 8000m², le reste soit 7000m² sera réservé aux céréales (maïs) pour nourrir les volailles qui ont un rôle très important dans la  ferme pour la fertilisation et le nettoyage des sols.
  • En conséquence, nécessité de revenir à 25 paniers sur 29 semaines au lieu des 39 actuellement avec un  contrat sur l'année civile qui serait en 2011 du 1er juin au 15 décembre.
  • Abandonner le statut de chef d' exploitation pour reprendre celui de cotisant solidaire auprès de la MSA  

La question est posée aux adhérents par Jean-Luc: souhaitez vous maintenir un panier bien garni, avec des fraises et des oeufs de manière régulière ? Ce panier passerait à 22€, compte tenu de l'absence de basse saison en 2011 , (voir la moyenne estivale de 2010 pour relativiser l'augmentation) ou bien doit-on supprimer ces deux produits notamment et rester à un panier à 20 € ?

La majorité des présents s'est prononcé pour le maintien des fraises et des œufs donc à un panier à 22 € sur la période du 1er juin au 15 décembre 2011.

 

Autre question : peut-on prolonger pour ceux qui le souhaitent, le contrat actuel qui prend fin le 10 novembre jusqu’au 15 décembre ? Cela dépendra  du temps d'Octobre, donc réponse au 1er Novembre.

 

Muriel et Fred qui fonctionnent déjà en AMAP légumes et fruits sur Toulouse proposent des paniers sur Cahors aux mêmes conditions soit 22 €  sans œufs mais avec plus de fraises et de fruits, pour ceux qui n’auraient pas de place chez Jean-Luc. En outre ils continuent pour ceux qui le souhaitent, les paniers de  fruits pour l’hiver 1 fois par mois soit 3 distributions en tout avec des pommes, du raisin, des jus de pommes, compotes, confitures, sirops etc.

 

 

Tour de table  pour savoir qui souhaite reconduire son contrat.

 

Renouvellement du bureau : presidente réélue: Florence Parise, trésorier : Sébastien Bressac,  secrétaire : Laetitia Didier

 

Martine Catonné : coordinatrice pour la distribution des paniers et responsable du blog: http://amap.lariviere.over-blog.fr/  : chaque amapien peut écrire un article sur le sujet de son choix que ce soit recettes, reflexions, informations, photos etc. en l'envoyant par e-mail.  

 

La séance est levée à 20h30.

 

Le dimanche 17 octobre, signature des contrats à la ferme autour d’un goûter

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 15:55

Le monde, 26/27 septembre 2010

Eric Gobard, 41 ans, est un agriculteur heureux, et même enthousiaste. Il y a deux ans, ce céréalier

 installé depuis huit ans, à Aunoy, au coeur de la Seine-et-Marne, haut lieu de l'agriculture intensive, a converti 30 % de ses 200 hectares au mode de production biologique. Il espère aller au-delà, car, dit-il, il se sent "aspiré" par ce mode de production.

Un objectif de 20 % de la surface agricole en 2020

Equilibres naturels L'agriculture biologique est un mode de production qui a recours à "des pratiques- -culturales et d'élevage soucieuses du respect des équilibres -naturels", selon le ministère de l'agriculture, qui évoque des "bénéfices multiples en termes de création d'activités et d'emplois, de préservation de la qualité des sols, de la biodiversité, de l'air et de l'eau".

Subventions La conversion à l'agriculture bio est subventionnée pendant les cinq premières années. Fin 2009, 16 446 exploitations étaient certifiées, soit 3,14 % des exploitations. Elles représentaient 2,46 % de la surface agricole utile (SAU) en métropole. Le Grenelle de l'environnement a fixé l'objectif d'arriver à 6 % en 2012, et 20 % en 2020.

Retard français Selon l'Agence pour le développement de l'agriculture biologique, les surfaces converties les plus importantes en Europe se trouvaient en Espagne, en Italie et en Allemagne.

 

 

 

Il est loin d'être le seul. Après des années de stagnation, l'agriculture bio est en pleine explosion. Les conversions ont augmenté de 23,4 % en 2009, et, en 2010, la progression s'accentue encore. La barre des 20 000 producteurs devrait être franchie.

 

Une foule de motivations ont poussé M. Gobard à sauter le pas. D'abord, "l'attente de la société". "En agriculture productive, on est arrivé à un paroxysme en termes d'impact sur l'environnement, explique-t-il. Il faut faire marche arrière." Sensible dès ses débuts à la thématique de la protection de l'eau, très dégradée dans sa région du fait de l'utilisation massive d'engrais et de pesticides, le jeune homme a été "séduit" par l'objectif de 20 % des surfaces agricoles en bio en 2020, fixé par le Grenelle de l'environnement d'octobre 2007. Ce fut le déclic.

L'agriculteur est aujourd'hui intarissable sur les avantages de ce mode de production. Il se dit "plus serein" de ne pas utiliser de produits chimiques, pour sa propre santé et celle de sa famille ; désigne, ravi, les insectes et les oiseaux qui peuplent ses haies et ses champs. "Je redécouvre l'agronomie, poursuit-il. La base, ce sont les rotations longues, sur sept ou huit ans, contre deux ou trois ans en conventionnel." Pour lui, l'agriculture bio n'est pas un retour en arrière. Il en veut pour preuve le matériel perfectionné qu'il utilise, comme cette bineuse équipée d'une caméra numérique. Du côté des revenus enfin, le calcul a été "vite fait". "On a 25 à 40 % de baisse de rendement, mais la production est payée deux fois plus cher, et, sans engrais ni pesticides, les charges baissent, explique le jeune homme. Et on a un sentiment de liberté extraordinaire."

M. Gobard sent que les choses bougent autour de lui. Peu à peu, l'image des producteurs bio, autrefois moqués, change. "Les voisins sont de plus en plus nombreux à venir voir comment ça se passe sur mes terres, constate-t-il. Ils voient que c'est faisable -techniquement et rentable. C'est comme cela que ça avance."

Mais cela avance si bien que le budget a du mal à suivre. La Fédération nationale d'agriculture biologique (FNAB) a évalué les besoins de financements pour 2010 à 96 millions d'euros (sur cinq ans, soit la durée de l'aide à la conversion) dans 18 régions. Or 81 millions d'euros seulement sont budgétés pour l'instant pour toute la France (financés pour moitié par des fonds européens).

Le ministère de l'agriculture, qui a piloté le plan de développement de l'agriculture bio, se veut rassurant. "Nous faisons tout pour qu'aucun dossier ne soit rejeté pour insuffisance de moyens, y assure-t-on. On négocie, on redéploie. L'agriculture biologique est une priorité." Le non-respect des engagements risquerait de "briser la dynamique actuelle, en adressant un signal contradictoire aux producteurs", prévient Julien Adda, délégué général de la FNAB.

Est-on en train d'assister à l'émergence d'une "bulle" bio ? Jérôme Bédier, président de la Fédération du commerce et de la distribution, pense que non. "C'est un secteur très prometteur, la demande de produits bio est un phénomène durable, dit-il. La France est aujourd'hui le -deuxième pays consommateur en Europe, derrière l'Allemagne." Mais seulement le quatrième producteur. Le rattrapage qui est en train de s'opérer ne suffit pas : environ 38 % des produits (en valeur) sont importés. Et pour atteindre les objectifs du Grenelle, le rythme de conversion "doit encore s'intensifier", affirme Elisabeth Mercier, directrice de l'Agence française pour le développement et la promotion de l'agriculture biologique.

M. Adda reste toutefois prudent. "L'engagement de l'Etat, accompagné par celui des collectivités locales, et la crise du modèle conventionnel font que la bio gagne du terrain, explique-t-il. Mais on n'est pas à l'abri d'un retournement de tendance dû à des évolutions de prix sur le marché conventionnel."

Reste aussi à gérer, pour la filière, le passage d'un marché de niche (2 % du marché alimentaire aujourd'hui) à une certaine massification, "sans y perdre notre âme", dit M. Adda. Et sans voir fondre les prix rémunérateurs aujourd'hui payés aux producteurs. "On se méfie, souligne M. Adda. Il n'est pas question de passer au bio pour se retrouver dans la même misère que l'agriculture conventionnelle."

Or un panier bio vendu sous la marque d'un distributeur est 57 % plus cher qu'un panier non bio de la même enseigne, et 22 % plus cher qu'un panier rempli de produits de marque, selon une enquête de l'UFC-Que choisir ? parue en février - même si la différence est très variable selon le produit considéré. La baisse des prix fait partie des objectifs des distributeurs. "Nous voulons donner un large accès au bio, dit M. Bédier. Un différentiel de prix de 15 % paraît acceptable." Le secteur ne devrait donc pas échapper à la bataille des marges qui sévit pour les produits conventionnels.

Pour M. Adda, il doit donc absolument maintenir sa spécificité, qui est d'écouler une forte part de la production en vente directe, ou dans des magasins spécialisés.

 

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11 septembre 2010 6 11 /09 /septembre /2010 15:53
 Assemblée générale
 le mercredi 22 septembre
à la MJC de Cahors
 à 18h45

        Bilan de l'année

        Rapport financier

        Perspectives et orientations 2010/2011

       Questions diverses

       Reconduction des contrats






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23 août 2010 1 23 /08 /août /2010 14:23

Merci à Jean-Luc, Cathy  et à tous ceux et celles qui sont venus donner un grand coup de mains pour que cette soirée " De ferme en ferme" soit une parfaite réussite !

De  nombreux stands nous ont permis de découvrir et déguster  de nombreux  et excellents produits  du terroir dans une chaleureuse ambiance musicale et danses folkloriques...danse en groupe P1070292 [640x480]JL sert le vin P1070223 [640x480]

        musiciens P1070233 [640x480]

 

  

  service salade P1070214 [640x480]

danse en couples P1070237 [640x480]

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5 août 2010 4 05 /08 /août /2010 09:52

Voici une délicieuse façon de préparer des aubergines .....

 

 

Pour 4 personne(s)

Ingrédients (pour 4 personnes)
2 aubergines longues
5 tomates moyennes bien mûres
1 poivron rouge
1 oignon doux
1 CS de vinaigre de vin vieux
1 CS de miel
125g de ricotta
Huile d'olive
Sel, poivre

PREPARATION

 

1- Emincez les oignons et faîtes les revenir doucement dans 1 CS d'huile d'olive. Ils doivent devenir transparents sans blondir. Ajouter le poivron coupé en dés.

2- Après 5 minutes ajouter les tomates coupées en dés, salez, poivrez. Laissez compoter jusqu'à ce que toute l'eau de végétation soit évaporée.

3- Pendant ce temps, couper les aubergines en tranches fines dans la longueur (utilisez si possible une mandoline pour que les tranches soient d'épaisseur identiques). Disposez les tranches sur une plaques en téflon, salez et enfournez à four chaud (170°C). Quand elles commencent à prendre coloration sortez les du four.

4- Ajouter le vinaigre puis le miel à la compote de tomate aux poivrons.

5- Débutez le montage de la charlotte. Dans un caquelon disposez les tranches d'aubergines dans le fond et sur le bord du caquelon et faîtes-les déborder légèrement.

6- Versez la compote de tomate sur les aubergines puis disposez la ricotta sur le dessus. refermez les tranches d'aubergines pour recouvrir l'ensemble. Arrosez d'un peu d'huile d'olive.

7- Enfournez pour 45mn environ. Il ne doit plus y avoir d'eau de végétation apparente dans le caquelon ce qui indique que les aubergines sont cuites. La charlotte doit être bien caramélisée (cf photo, cliquez pour voir le montage).

8- Servez chaud en accompagnement d'une escalope de veau par exemple.

 

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26 juillet 2010 1 26 /07 /juillet /2010 11:17

ferme-a-l-autre-10141--640x480--copie-2.jpgLes rendez-vous fermiers de l'été 2010 :

  6 août, 13 août, 20 août

 

Des producteurs locaux se réunissent autour d'une soirée. Venez composer votre repas champêtre avec les produits achetés sur place, profiter des saveurs paysannes et de l'ambiance chaleureuse !

Dans un souci d'écologie  et d'économie, n'oubliez pas vos assiettes, verres et couverts.

  

Un petit réseau de producteurs biologiques locaux vous accueille :

 

1 - Le rucher de Pech Larive : vendredi 6 août 

 à partir de 17 h : visite de la ferme

19h apéro offert en musique,

 20h repas fermier,

21h concert de fanfare jazz   avec  le groupe "Le mystére des éléphants"             

 

2 - La ferme de le Rivière : vendredi 13 août 

à partir de 17 h : visite de la ferme, marché gourmand et paysan

18h: initiation aux danses traditionnelles  avec Elodie et le groupe "Chaman" 

19h30: apéro offert concert en musique 

20h : repas fermier,

21h : concert bal tradition  avec le groupe "Chaman"

 

3 - La ferme de la Loge : vendredi 20 août 

 à partir de 17h : marché paysan, rencontre avec les brebis,

19 h: apéro offert en musique,

20h : repas fermier et violonade bohémienne  avec Hans, Vladimir, Yvan, Dimitri

 

 

1 - Le rucher de Pech Larive :  chez Véronique Gault et José Girma à Bouziés (46330)

                                                      05 65 30 20 93

                              Pains d'épices, nougats confitures et sirops

 

Chambres et gîte paysan, ouvert de pâques à la Toussaint.

Toute l'année vente à la ferme de 15h à 19h sauf dimanche

Visite de la ferme juillet-août le vendredi à partir de 17h

Marchés: St Géry, dimanche matin

St Cirq Lapopie mercredi de 16h à 20h

 

Où trouver nos produits ? à Cahors : Bio Coop, Quercy Bio, La Vie Claire  

à Figeac : Au Sens Bio, à Biars sur Cére : Pensées Bio

 

2 - La ferme de le Rivière : Chez Jean-Luc et Cathy Marcenac à Saint Cernin (46360)

 05 65 31 37 14

                     Production de fruits et légumes de saison, oeufs et volailles bio

 

Vente à la ferme en été  lundi et vendredi à partir de 18h

Marchés d'été : Gramat mardi matin

                           Labastide Murat dimanche matin

 

Atelier de vannerie : stage d'initiation, fabrication, vente,démonstrations

  P1060468 [640x480] (2)

 

3 - La ferme de la Loge  :  chez Jacqueline et Jean-Marie Aillet à Concots ( 46260)

                                                                                       05 65 31 55 04

        Elevage de brebis caussenardes, agneau découpé, saucisses et merguez

 

Vente de viande d'agneau sur commande et à la ferme le vendredi à partir de 18h

Gîte d'étape Accueil Paysan ouvert toute l'année 

 

 

 

                 

      

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21 mai 2010 5 21 /05 /mai /2010 15:50

Le reseau d'arrosage a été repensé pour arroser plus efficacement les serres et les champs

 

                                                   P1060453--640x480-.JPG

 

Les légumes enfin  commencent à  profiter du beau temps

et nos paniers vont se remplir  d'avantage!

 

P1060451 [640x480]

 premiére tomate

 

Les choux grossissent sous leur filet de protection  

    

P1060482 [640x480]   chou

 

mais tous n'ont pas cette chance car la punaise perfore consciencieusement leurs feuilles....

des insectes auxillaires vont être installés sous les serres pour dévorer les ravageurs...

 

 attaque de la punaise   P1060456 [640x480]

 

 Surprise de Jean -Luc ! Les panais ont fini par germer !  

             ;

 lesd panais germent   Oignons salades         

 

 

 

 

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